Calvitie: Focus sur les greffes capillaires

17/08/2015 | | CHIRURGIE ESTHETIQUE

CalvitieLa calvitie touche en priorité les hommes. Dès la trentaine, nombreux sont les hommes dont le crâne commence à se dégarnir. Source de complexe et mal-être, ils peuvent heureusement se tourner vers la chirurgie esthétique pour lutter contre la calvitie. Au cours des dernières années et grâce aux innovations médicales, de nouvelles techniques encore plus performantes ont vu le jour.

Technique 1 Calvitie  : La bandelette

Comme son nom l’indique, cette méthode s’appuie sur le prélèvement d’une bandelette afin de récupérer les bulbes capillaires afin de les réimplanter dans les zones dégarnies. Cette méthode est très plébiscitée par les médecins car elle offre des implants d’une qualité supérieure. La zone où la bandelette a été prélevée est ensuite refermée grâce à des sutures et ne laisse généralement qu’une fine cicatrice presqu’invisible) à l’oeil nu.

En deux heures, les bulbes sont réimplantés : environ 1500 implants permettront d’obtenir plus de 4000 cheveux.

Si l’intervention est totalement indolore, le réveil peut être un peu plus douloureux : le patient peut alors ressentir des tiraillements et un gonflement au niveau du crâne et du front sous l’effet de l’anesthésie locale. Des croûtes vont aussi se former et elles finiront pas disparaître une dizaine de jours plus tard.

Au bout d’un an, le résultat est optimal et définitif. Si une seconde intervention est à prévoir, il faudra néanmoins patienter une année avant de pouvoir planifier une nouvelle intervention.

Technique 2  : la Follicular Unit Extraction – FUE

Elle est destinée aux hommes jeunes âgés de moins de 35 ans et qui ont des zones dégarnies assez limitées. La Gue est une méthode utilisée pour extraire les bulbes afin de les réimplanter là où il y a un besoin. Pratiquée sou anesthésie locale, la Follicular Unit Extraction –FUE peut durer jusque 5 heures. Indolore pendant l’intervention, l’après-opération est moins douloureuse alors que 5 jours suffisent pour que les croûtes éventuelles ne disparaissent d’autant plus qu’il ne restera aucune cicatrice.