Si la liposuccion est un bienfait pour le ventre ou la culotte de cheval en affinant la silhouette, c’est aussi une véritable bénédiction pour des mollets qui présentent une surcharge graisseuse tenace malgré le sport et les régimes. L’on peut même aller jusqu’à dire que l’un ne va pas sans l’autre car recourir à la chirurgie esthétique pour amincir son corps et garder des jambes épaisses serait franchement inesthétique.
Une liposuccion sur toute la circonférence des mollets et des chevilles leur redonnerait un joli galbe en harmonie avec le reste du corps.
Comme dans toute procédure de lipoaspiration, celle des mollets se pratique sous anesthésie générale et sa durée est 1 h 30 à 2 h, en fonction de la quantité de graisse à retirer. Le chirurgien pratique de petites incisions de 3 à 5 mm afin d’y introduire de fines canules à bout arrondi et percé de trous, connectées à un circuit fermé à pression négative afin de permettre l’aspiration des cellules graisseuses profondes et superficielles.
Des antalgiques sont administrés après l’intervention pour calmer gêne et douleurs et une sensation de fatigue peut survenir. Des collants de contention sont à porter nuit et jour durant une semaine pour limiter l’apparition de l’œdème et des ecchymoses habituels après ce type d’intervention. Ceux-ci disparaissent après un temps légèrement plus long que pour d’autres zones du corps traitées par liposuccion et le résultat définitif sera jugé après 3 à 6 mois.
En attendant, quelques séances de kinésithérapie et de drainage lymphatique après une liposuccion des mollets permettent de récupérer de manière plus rapide et plus confortable.
Il ne fait, cependant, aucun doute que le jeu en vaut la chandelle et que, pour montrer de jolies jambes, passer par la case liposuccion est nécessaire et en Tunisie c’est encore mieux car le séjour médical complet revient moins cher que l’intervention à elle seule en France.